Ce n’est pas pour rien qu’on appelle les pompiers des ‘héros’ : Ils sont présents dans les circonstances les plus dangereuses, ils font tout leur possible pour sauver des gens et des animaux aussi. Ils sont des personnes courageuses qui ne tardent jamais lorsqu’on a besoin de leur aide, et ce peu importe le risque qu’ils encourent.
Costache Mugurel est un bon exemple du courage des pompiers, il nous montre à quel point ses héros sont doués d’humanité.
Lors d’une mission urgente de sauvetage en Romanie, Costache et son équipe devaient sortir un homme âgé de 51 ans et son chien des flammes d’un incendie. Heureusement, ils avaient pu sauver les deux, mais à ce moment quelque chose d’impressionnant se déroula.
L’homme sauvé fut transporté vite à l’hôpital, mais son chien fut délaissé sur le trottoir souffrant non seulement de graves blessures mais aussi d’une difficulté respiratoire.
Costache n’avait pas supporté le fait de voir le chien dans cette misérable situation et rester indifférent. Il décida alors d’aider le chien à mieux respirer, en pratiquant la technique RCR mais malheureusement, sans résultat. Le pompier n’avait pas perdu l’espoir et continua ses tentatives en exerçant de la bouche à bouche puis des compressions thoraciques. Heureusement, il a fini par réussir et le chien reprit le souffle. Grâce à cet homme le chien est toujours en vie.
Le journaliste local Costi Tudor avait filmé le déroulement de cet incident en vidéo. Il l’avait publiée par la suite sur Facebook.
La publication a été accompagnée de la description: « Personne n’est laissé pour compte »
La vidéo a été partagée des milliers de fois.
Dans les commentaires, des internautes de diverses nationalités remerciaient Costache pour sa gentillesse et son humanité : « Vrai héros ! Dans un monde avec de mauvaises nouvelles quotidiennes. C’est tellement beau !! Dieu te bénisse, toi et ta famille ! «
« Merci d’être un VRAI humain et de votre compassion envers un animal sans défense. Vous êtes le vrai héros ! Mes hommages », écrit un autre commentateur.
